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法国雅虎情人节推荐的15首贯穿世纪的新老情歌(zt)

(2009-02-14 07:32:12) 下一个



 15 chansons françaises pour une Saint Valentin pas triste
L'amour, c'est gai. La preuve, depuis près d'un siècle, nombre d'artistes se sont évertués à faire rire de bon coeur avec les émois du coeur. Ci joint un petit florilège de chansons d'amour pas toutes gauloises mais destinées à se taper tendrement sur le ventre. Bonne Saint Valentin... aux éclats.
 
1) « Valentine », Maurice Chevalier (1925)

Pour la Saint Valentin, impossible d'oublier son équivalent féminin, qui avait, nous dit Maurice, de tout petits tétons. Pas étonnant que le prénom ait fait fureur, à l'époque.


 

2) « Boum », Charles Trenet (1938)

Quand notre coeur fait boum avec Trenet, rien à voir avec une crise cardiaque. Plutôt une explosion de gaieté, à l'image du célèbre « fou chantant », chantre de l'amour swing et de la joie de vivre.



 
3) « La drague », Guy Bedos et Sophie Daumier (1972)

Ecrit par Jean-Loup Dabadie, le sketch le plus emballant du couple Bedos-Daumier. De quoi militer pour le retour du slow !



 
4) « Ah si vous connaissiez ma poule », Serge Gainsbourg (1967)
Une version peu connue d'un succès de Maurice Chevalier par l'homme à la tête de chou. Bruel l'a repris aussi, mais c'est un autre style de poulailler...

par Philippe Barbot


 

5) « Sous les palétuviers », Pauline Carton et André Berley (1936)

Extraite d'une opérette intitulée « Toi c'est moi », avec l'actrice et chanteuse Pauline Aimée Biarez, alias Pauline Carton. Le duo enchanta les amoureux de la belle époque et la chanson fit, bien sûr, un carton...

 

6) « Mon coeur, mon amour », Anaïs (2006)

Le tube acide qui lança la grenobloise Anaïs Croze, nullement tenniswoman malgré les apparences, mais plutôt enfant de la balle. Son dernier disque s'intitule « The Love album » : l'amour, toujours...

 

7) « Les bonbons », Jacques Brel (1964)

Les fleurs c'est périssable... Trois ans après cette version (ici en live curieusement sous-titré), le grand Jacques reprenait ses bonbons dans une deuxième mouture en forme de suite désabusée. La trêve des confiseurs...

 

8) « Tu veux ou tu veux pas », Marcel Zanini (1969)

Quand un clarinettiste de jazz moustachu fait un malheur dans les hit-parades français grâce à cette adaptation d'un tube brésilien... Tu l'crois ou tu l'crois pas ?

 

9) « Ça », Bourvil et Jacqueline Maillan (1970)

Une version plus comique qu'érotique du « Je t'aime moi non plus » de Gainsbourg/Birkin. Où l'on apprend qu'à l'époque, 45% des français couchaient à poil...

 

10) « Viens poupoule », Félix Mayol (1932)

Ancêtre du café-concert, devenu plus tard music-hall, Félix Mayol interprèta plus de cinq cents chansons au début du siècle dernier et lança de jeunes artistes, dont un certain Valentin Sardou, grand-père de Michel...

 

11) « C'est l'amour », Leopold Nord et Vous (1987)

Trois frangins belges, un nom de groupe rigolo, un petit tube... et puis s'en vont. C'est la vie...

 

12) « Sois érotique » , les Charlots (1970)

Un pastiche de Gainsbourg par l'ex-orchestre d'Antoine, avant qu'ils ne deviennent bidasses en folie et, pour le coup, vraiment charlots.

 

13) « J'ai encore rêvé d'elle », les Frères Taloche (2007)

Deux faux frères grimaçants transformant en chanson de gestes comiques le magnifique tube du groupe Il était une fois... y'a des taloches qui se perdent.

 

14) « J'aime tes genoux », Henri Salvador (1975)

Une reprise salvadorienne de « Shame on you », tube disco de Shirley and Co. A force de se taper sur les cuisses, même les fétichistes en sont restés sur les rotules.

 

 

15) « J'ai un problème », Sylvie Vartan et Johnny Hallyday (1973)

Un duo kitch du couple le plus célèbre de l'histoire de la variété française. Rien que pour la moto et les cheveux qui volent au vent. Comment ça, pas rigolo ?


 
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